Ils sont parmi nous, au bureau et on les reconnait ces « porteurs de toxines » (en français) ou bien encore « absorbeurs d’angoisse » à ce qu’ils sont altruistes, empathiques, compassionnels et font, sans même y penser, naturellement, du bien aux autres ainsi qu’à leur entreprise.
Aux dirigeants de ces sociétés de les repérer, les identifier afin de les protéger car ce sont ceux-là mêmes qui ne sont, trop souvent, pas considérés au sein des entreprises puisqu’on y enseigne plutôt à se frayer un chemin sans trop s’encombrer des autres, quitte à blesser ou malmener les plus faibles.
Depuis quelque temps, des techniques pour reconnaître et développer leurs qualités sont enseignées aux managers. L’intelligence émotionnelle est désormais reconnue et appréciée à sa juste valeur.
La communication non violente reprend droit de cité, la pleine conscience est entrée dans le monde professionnel parce qu’il est apparu, lentement mais sûrement, que les comportements des « jeunes loups aux dents longues » avaient fait long feu et ne faisaient que nuire à l’activité professionnelle en multipliant les absences pour maladies liées à ce qui est perçu comme harcèlement moral et pression insupportable.
Cette prise de conscience générale est salutaire et il était temps qu’écoute, reconnaissance et encouragements des salarié(e)s redeviennent des sujets essentiels pour le bien de tous.
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