Si un souci écologique est, plus que jamais, indispensable, dans l’état où l’on a mis la Terre, les éoliennes, qui poussent comme des champignons, partout, actuellement, répondent davantage à l’appât de l’argent public.
Pour parvenir à élargir, sur la mer, le parc d’éoliennes, l’Etat incite les opérateurs à subventionner les communes et les organisations professionnelles concernées.
Mais l’opérateur qui paiera ces subventions les répercutera sur le prix de vente du kilowatt, cinq fois supérieur au prix du marché, la différence étant payée par le consommateur.
On argumente souvent en faveur des éoliennes en évoquant la création d’emplois que générerait ce marché.
En réalité les emplois pérennes seront ceux qui concernent la maintenance et ils ne seront pas si nombreux qu’on veut nous le laisser croire.
En région, nous évoquons d’autres sources d’Energie pour remplacer les énergies fossiles comme la méthanisation et, en ce qui concerne ces installations, les cultivateurs, agriculteurs et éleveurs auront des subventions tant de l’Etat que de la Région et de l’Europe, par exemple et on incite les propriétaires privés de bois à se faire connaître pour que soient exploitée cette ressource naturelle qui, bien gérée, permettra de créer des chaufferies au bois.
Il ne faut pas confondre appât du gain et réelle envie de protéger la Terre et améliorer les émissions de gaz polluants, entre autres.