Quand il s’agit de faire un choix, entre nos envies, nos freins, nos peurs et les avis extérieurs, c’est souvent plutôt ardu.

Pour commencer, il faut se mettre au calme…

Au quotidien, nous sommes tellement sollicités avec des offres sans cesse renouvelées que le choix semble illimité et trier le bon grain de l’ivraie s’avère souvent épique et compliqué.

Le mieux, alors, est de se mettre en retrait de toutes ces sollicitations, se rendre hermétique à ces chants des sirènes et parvenir à entendre ce dont on a vraiment envie et ainsi se rassembler pour définir qui nous sommes et ce qui nous est indispensable.

Puis, éviter de prendre trop de conseils …

A chaque question, le nombre d’avis différents, voire opposés, ne peut qu’ajouter au trouble ressenti à devoir prendre une décision car la demande de conseils est une requête adressée au désir de l’autre qui n’est pas forcément le sien.

Ne pas vouloir décider par soi-même peut sembler confortable mais ne résout rien car s’en remettre au choix d’autrui peut, trop souvent, conduire à une frustration ensuite.

Ensuite, on limite le temps de l’indécision …

Ceux qui savent trancher rapidement s’évitent ce temps d’indécision si peu confortable.

Mesurer les conséquences de nos choix est une bonne chose mais la part d’inconnu demeure, de toute façon et rien n’empêche de « rectifier le tir » si le choix opéré s’avérait décevant.

L’indécis se réfugie derrière la peur de se tromper pour ne pas agir et le regrette ensuite.

Enfin, on laisse place à l’intuition …

L’intuition est un calcul inconscient et celle-ci travaille autour des premières impressions et on s’aperçoit, en les analysant, au travers de nos rêves par exemple, que l’on sait, très bien, au fond, ce qu’on doit faire.

S’y fier est rarement source d’erreurs…

Faîtes-vous confiance !!!