S’échapper, enfin, de sa vie professionnelle, trop souvent stressante, cadencée par moult obligations, avec un poste exigeant, devient la bulle d’oxygène mentale espérée, rêvée , à laquelle aspirent de plus en plus de citadins bousculés par leur rythme de vie.
Que ce soit, attablés sur une terrasse de bistrot, devant le jeu de boules du village ou à regarder la vie de la petite commune qui nous semble tellement plus authentique que celle des grandes villes, on se sent renvoyés à ses souvenirs d’enfance, aux vacances passées chez des cousins ou des grands-parents, remplies de beaux souvenirs, la plupart du temps ou idéalisées, d’ailleurs.
C’est l’endroit de « slow life » par excellence où on tente de renouer avec un temps qui ne serait pas chronométré en permanence ou on vivrait au rythme du soleil plus en lien profond avec la Nature.
Les conversations qui vont bon train sur les marchés de villages, les moments de pause pour siroter un petit café redonnent l’impression d’être bien vivants et de pouvoir l’apprécier à sa juste valeur.
La vie de citadin met en exergue plus que jamais un sentiment de solitude et d’inquiétude diffus.
On imagine, à tort ou à raison, que de vraies valeurs subsistent dans nos campagnes, qu’on peut y consommer autrement et mieux, y dénicher de bons produits du terroir qu’on prendra le temps de goûter.
On a de plus en plus le souhait de sortir de l’anonymat, d’être en lien avec les autres, de partager de bons moments conviviaux.
Ainsi, les bals tombés en désuétude il y quelques années, sont-ils « tendance » aujourd’hui quand on peut, en plus, danser à ciel ouvert, des danses « vintage »  à deux de nouveau et où toutes les générations se mêlent.
Besoin de convivialité, d’échanges, de partages en plein essor et c’est positif.
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